Être parent et éducatrice différemment. Bienveillance, école-maison, éducation alternative au quotidien.

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Et si punir davantage n’était pas la solution? / Un enfant de 20 mois qui frappe “sans raison”!!

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“La solution est-elle de le punir suffisamment pour qu’il comprenne que c’est inacceptable???” J’ai souvent entendu ce genre de réflexion: Si un enfant n’écoute pas, c’est que la punition ne fait pas assez “mal” ! J’avais envie de vous partager un cas précis, et de vous proposer une autre perspective, une autre façon de résoudre ce comportement..

(….)
J’ai été témoin aujourd’hui d’une scène et je voulais (avec la permission du parent) vous la partager. Je pense qu’avoir une observation neutre de la situation permet souvent de comprendre davantage.

De un, parce que l’observateur neutre n’a pas l’attachement émotionnel et surtout qu’il n’as pas cette pression interne “d’être en train de rater son enfant!”. Parce que oui, cette petite voix paniquée dans notre tête devant chaque mauvais comportement (qui se projette déjà dans le futur et voit chaque comportement problématique comme une preuve d’échec comme parent) est souvent notre pire ennemie pour une intervention efficace.

Donc. Voilà la scène. Les mamans sont assises et discutent. Les enfants se promènent et jouent. Le petit garçon suit les grands, joue assez bien seul. La maman évidemment profite avec plaisir de ce moment de calme où elle n’a pas à être en intervention avec son enfant, il joue si bien aujourd’hui!

Soudainement. Bang. L’enfant vient frapper un autre enfant à côté de sa mère. Celle-ci le prend dans ses bras, et lui explique qu’il ne faut pas frapper en le regardant dans les yeux.

(…)

L’enfant vient d’être “récompensé” pour avoir frappé. Dans ce cas-ci, l’enfant n’était pas fâché, pas en chicane pour un jouet alors qu’est-ce qu’il a obtenu? De l’attention consacrée à lui et à lui seul. L’enfant de cet âge pense en action = réaction. Si je frappe, maman se consacre à moi. Si je ne frappe pas, maman est occupée et je ne reçois pas d’attention. Ce n’est pas de la manipulation, ce n’est qu’une technique simple qui fonctionne que l’enfant à probablement découverte par “hasard” en frappant la première fois.

Est-ce que parler plus fort? Être plus “ferme” marcherait?? On entend souvent ça “faut vraiment qu’il comprenne que ça ne passe pas!!”

Non. Au contraire. Parce qu’en étant “super fâché”, tu donnes à ton enfant l’impression qu’en frappant, il peut influencer comment tu es, et il va devoir explorer ça, tester, parce qu’il va probablement essayer de comprendre ce “pouvoir” (parfois insécurisant pour lui) qu’il a sur toi.

Essayons un deuxième scénario.

La mère discute avec ses amies. C’est agréable, car son fils joue bien aujourd’hui! Lorsqu’elle s’en rend, compte, elle se lève, va lui chuchoter à l’oreille un petit mot doux d’encouragement. De temps en temps, elle croise son regard et lève le pouce en l’air pour lui confirmer qu’il fait bien ça.

L’enfant arrive soudainement et frappe. La mère utilise une voix neutre (le vocabulaire exacte variera selon la technique qu’elle utilise habituellement), qui signifie à l’enfant que c’est un comportement inacceptable. Elle prend l’enfant et le déplace dans un coin jeu juste un peu plus loin, sans imposer de temps ou rien, juste le sortir de la situation. Elle revient ensuite rapidement vers l’enfant blessé et s’excuse de la part de son fils, propose de lui apporter une débarbouillette froide.

L’enfant, habitué au scénario 1, essayera peut-être plusieurs fois avant d’en déduire que oups, frapper ne m’apporte pas l’attention attendu. La troisième fois, peut-être qu’il va même avoir envie de participer au rituel d’excuse et débarbouillette, faisant le lien que c’est la façon de faire quand on blesse quelqu’un, ayant vu sa mère le modeler. Peut-être qu’après avoir été retiré, il jouera simplement ailleurs. C’est okay aussi, la conséquence n’a pas pour but de confirmer au parent qu’il a le pouvoir de faire se sentir mal l’enfant qui se comporte mal (comme si, c’était la clé de l’obéissance!).

D’ailleurs, s’il recommence plusieurs fois, la mère choisira probablement de partir, de se retirer avec lui quelques minutes, ou d’utiliser également la technique velcro. On peut pratiquer en premier avec des amies qui nous connaissent bien, plutôt que dans un endroit bondé de mamans inconnues, c’est moins intimidant 😉

On ne force pas l’enfant à réparer, parce qu’il a 20 mois, ça finirait en guerre de pouvoir et ça deviendrait un Sunday d’attention. On modèle par contre, pour qu’il commence à intégrer la façon d’agir pis que de la même façon qu’il a appris à imiter maman dans pleins de gestes du quotidien, il apprenne la bonne façon de faire dans ce contexte-là aussi.

On explique oui, mais plus tard, et surtout plus tôt, quand on arrive a un nouvel endroit on explique le comportement attendu. Ou quand l’enfant revient vers nous. Avec des mots simples. On peut lui montrer aussi, comment avoir notre attention. Si on voit qu’il montre des signes de changement d’attitude ou d’humeur, on peut lui proposer : “A-tu besoin d’un câlin ? ”  C’est en observant et en accompagnant, qu’on l’aidera davantage.

La clé ici, chez un tout petit très petit encore, c’est l’association d’actions – réactions.

Je joue – j’ai régulièrement des doses d’attention. C’est agréable!

Je frappe – je n’ai pas d’attention, je suis plutôt retiré de la situation temporairement et l’attention va plutôt à la personne blessée. J’apprends aussi inconsciemment comment réparer mon geste en voyant maman faire.

Éventuellement, on peut apprendre à l’enfant différentes façons acceptables de demander de l’attention. Il faut garder conscience qu’il risque de frapper encore dans toutes sortes de situations et chacune demandera une façon différente d’agir.

Parce que tous les coups ne veulent pas dire la même chose, il faut prendre le temps de décortiquer pour pouvoir identifier chaque besoin et créer une façon pour l’enfant de répondre à ces besoins autrement.

Un petit qui frappe exprime quelque chose.

Un bébé qui pleure peut avoir faim, chaud, froid, vouloir être changé de couches.

Un petit qui tape peut vouloir de l’attention, avoir besoin d’aide pour régler un “conflit de partage”, être fatigué, se sentir incompris…

On doit accepter finalement que frapper à 20 mois, ce soit “normal”.
Ce n’est pas un comportement définitif, ce n’est qu’une étape dans un apprentissage qui n’en est qu’à son commencement.

Bien sûr, quand je dis accepter, je ne dis pas d’encourager ce comportement. Je dis juste, de prendre le temps de remettre en perspective avant d’intervenir que oui, il frappe, mais ce n’est pas un signe d’un “mauvais” enfant.

Changer notre vision, le voir comme un apprentissage plutôt que comme violences, ça aide à avoir une approche plus “aidante” que “punitive”.

 

Pourquoi vos enfants ont BESOIN d’avoir moins d’objets (et vous aussi)

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C’est le premier jours des vacances, et pour plusieurs parents c’est le moment de l’année où ils vont commencer à mesurer l’ampleur de l’accompagnement que nécessitent leur enfants. C’est un débat en soi d’ailleurs; déterminer le rôle que devrait avoir le bon parent. 

Est-ce qu’un parent doit être avec ses enfants et faire office d’animateur toute la journée pour les divertir ? Est-ce que le parent à la maison doit s’occuper des enfants ET du ménage au court de la journée ? Le lâcher-prise semble l’option rêvée mais bon nombre de parents auront des standards minimum à maintenir…

Laisser les enfants jouer seuls, c’est merveilleux, mais le parent qui se veut pro-actif sait  qu’il doit(veut) assurer un minimum de présence, qu’il doit(veut) avoir le temps de remplir le réservoir de ses enfants d’amour et d’attention, qu’il doit(veut) être prêt à accompagner ces enfants au besoin..

Alors comment on y arrive ?

Et si une partie de la réponse était le minimalisme ??

Réduire le nombre d’objets dans la maison simplifie le quotidien de chacun
Pour le parent: C’est la première étape pour être plus organisé. Et être organisé, c’est un cadeau qu’on se fait à soi-même au quotidien. Retrouvé rapidement ce donc on as besoin permets d’éviter les pertes de temps et les frustrations. On économise également du temps en n’ayant pas à entretenir constamment des objets qui au fond, n’apportent rien à notre vie.

Ce même temps sera mieux utilisé à s’occuper d’humains plutôt que d’objets. Et quand je dit humain, ça inclus le parent lui-même qui pourra lire un livre lorsque les enfants dorment enfin plutôt que de continuer une bataille éternelle avec le ménage…

Pour l’enfant, une maison libre d’objets inutiles favorisera son autonomie. Il est plus facile d’accomplir une tâche lorsqu’on a pas à fouiller pour trouver ce qu’on cherche: caché derrière une pile d’objets divers…

Avoir moins de jouets l’aidera à arriver à jouer plus longuement, développer un attachement pour les jouets qu’il a choisit de garder, jouer vraiment plutôt que de vagabonder d’un objet à l’autre…

On choisira de laisser quelques jouets sélectionnés à sa vue afin de donner davantage envie à l’enfant de prendre le temps de s’asseoir et d’utiliser ces dits-jouets. On l’encourageras à être à l’écoute de son imagination plutôt que de lui proposer un objet pour répondre à chaque contexte de jeu possible.

Avec le minimalisme, il est est possible d’arriver au stade où l’aménagement de notre maison favorise l’épanouissement de chacun de ces membres. Visualisez le bonheur, si chaque jour, les objets donc vous avez vraiment besoins étaient là, prêts à être utilisés et que c’était les seuls donc vous aviez à vous soucier…

D’ailleurs, vos enfants ont besoin d’avoir un parent DISPONIBLE
Soyez honnêtes, êtes-vous déjà aller au parc avec vos enfants alors que dans votre tête, vous étiez occupés à stresser sur toutes les tâches qui vous attendaient ? Oui, vous avez fait l’effort pour eux d’aller au parc, mais vos enfants n’ont qu’une enfance et c’est un peu triste de penser que pour une raison matérielle, vous êtes en trains de manquer la chance de profiter pleinement de ces moments…

Je ne sait pas pour vous mais dans mon cerveau à moi, je vous jure que CHAQUE objet de la maison est une petite charge supplémentaire.

Ce n’est pas qu’un objet, c’est toute la charge de travail qu’il implique: d’abord le nombre d’heures travaillés pour arriver à son achat, puis le temps d’aller au magasin, de le sélectionner, de l’apporter ici, de se débarrasser de l’emballage, de l’utiliser, de le nettoyer, de l’entreposer puis un jour d’acheter une étagère pour pouvoir l’organiser…

Vos enfants ont besoin du minimalisme parce qu’il leur permettras une enfance plus douce, des heures de jeu créatif et un parent plus disponible et surtout moins stressé.

L’été est le moment parfait pour désencombrer: Les enfants jouent dehors une grande partie de la journée alors il devient plus facile de faire des tests, tenter d’éliminer certains jouets pour voir ce que ça donne. Commencez par remplir des boîtes que vous cacherez simplement. Au fil des semaines, vous verrez que ces objets deviendront oubliés et qu’ils n’étaient pas si utiles finalement et vous pourrez passer à l’étape de donner au suivant et ne garder que les objets qui vous apportent du bonheur au quotidien…

Un quotidien plus facile : 3 trucs pour le quotidien avec un 18-24mois

18 mois est un âge magnifique: bébé interagit de plus en plus, reproduit ce que l’on fait et tente d’acquérir de l’autonomie…

Bébé qui n’est plus vraiment un bébé, grimpe  sur le petit banc et s’étire le plus possible pour laver ses mains à la suite de ses soeurs.

Le côté difficile? On se retrouve parfois  avec un bébé fâché, limité dans sa capacité à s’exprimer, ou qui prends une situation drôle une fois et veut la répéter  10000 fois, et ça  en vient à rendre le quotidien difficile .

1. Changer une dynamique “dérangeante “

Un exemple  simple : l’habillage. Un matin, j’arrive pour habiller bébé et elle se sauve! Je l’attrape , elle rit et je l’habille. 2 semaines  plus tard? Bébé  se sauve pendant de longues minutes chaque fois et je veut défaire cette dynamique, cette association qu’elle a faite entre habillage = se sauver… Jouer à d’attraper c’est bien, mais pas dans ce contexte.

Ce que j’ai fait? J’ai créer une nouvelle association. Quand on s’habille, maman chante en inventant une chanson sur ce qu’on fait. Elle se sauve ? Silence automatique, je ne dit rien. Elle finit par revenir, on rechante. Au bout de quelques jours, elle teste encore en se sauvant 5 seconde voir  ma réaction (indifférence) puis revient vite danser  de la tête  pendant que je l’habille en chantant.

Une de mes enfants faisait énormément de crise et j’ai chanté beaucoup, ca peut facilement aider .

2. Un ordre pour gérer  le chaos

Je sort les crayons, elle en sort, ils tombent par terre, elle veut celui par terre, elle fait tomber l’autre…

Ça  vous rappelle quelque  chose ?
Je rajoute un pot à crayon dans lequelle j’en met 3-4, et mission  réussie ! Elle en prends un  ou deux à la fois et adooore les remettre dedans ensuite. Je modèle  quelques  fois pour elle également.

Ses jouets à plus d’un morceau sont presque tous dans des boîtes présentement  pour simplifier le rangement. Mettre sa casquette  elle même  à  un endroit établi, elle aime beaucoup toutes ces petites choses qu’on répète chaque jour avec constance..
Un bac pour avoir un endroit défini où mettre ses jouets de bain après le bain..

3. Adapter la maison à  bébé : ronde 3

Quand il est petit, on adapte (ou pas, selon ses convictions ) la maison à bébé .
À  cette âge là, l’adaptation prends un autre sens pour moi.

– peu de jouets à  disposition, et pas plus de 2-3 jouets à  plusieurs morceaux. On veut que l’enfant puisse jouer véritablement, sans toujours voir quelque chose plus loin qui l’intéresse, sans devenir “dépassé ” par le trop de jouet.

Et

– augmenter son autonomie en adaptant la maison pour lui donner le plus de capacité possible d’accéder  à  ses choses . Sa vaisselle à sa hauteur, ses vêtements  rangés à  sa hauteur avec des étiquettes imagé identifiants les emplacements des différents  vêtements, bref une place accessible pour chaque chose qu’il utilise quotidiennement.

50 + activités simples pour jouer avec ton enfant (2-5 ans)

Avec de la peinture:
1. Peindre et coller en famille un nouvel univers à utiliser avec les petits bonhomme. Du bleu pour un lac, du vert pour le gazon, des chemins en carton…

2. Peinturer avec différents objets (de la nature, du quotidien ?)

3. Décorer des créations en pâte de sel, réalisé avec des moules à biscuits.

4. Peinturer sur un miroir

5. Peinturer sur une boîte en carton qui as encore une belle forme afin de peinturer dans différents sens.. Sur le dessus, sur les côtés etc.

6. Tracer leurs corps sur un papier géant et utiliser différents médiums pour les décorer (peinture, collage, collant, papier de soi, dessiner, laine)

7. Faire de la peinture magique en traçant des lettres au crayon de cire blanc avant d’y peindre avec de la peinture à l’eau…

Avec les poupées

8. Créer une corde à linge pour les vêtements des poupées.

9. Faire un cour parent /bébé 🙂 Utiliser les poupées pour leur faire chanter des chansons, faire du yoga, réciter des comptines ou montrer les parties du corps.

10. Fabriquer un album regroupant des photos de bébés à travers le monde… j’y inclus aussi des bébés de différentes apparences (incluant des besoins particuliers), dans des contextes différents de notre vie.Des bébés vivant différents émotions et faisant différentes actions (pleurant, mangeant, jouant etc).

11. Créer un livre photo racontant l’histoire de l’enfant depuis sa naissance et le regarder avec eux. Mes filles adorent leurs livres photos respectifs.

12. Préparer un sac à couche pour les poupées en y mettant les bons items. On peut aussi utiliser des circulaires et découper des items liés aux bébés pour en faire une “liste d’achat”.

13. Créer une station pour donner le bain aux bébés, les sécher, leur mettre une couche, les habiller en disposant un bac d’eau sur une serviette par terre, une couche lavable et un pyjama nouveau-né.

Avec les casse-têtes
14. Transformer un casse-tête devenu facile en chasse au trésors en cachant les morceaux dans la salle de jeu.

15. Cacher les morceaux d’un casse-tête dans une boîte à couche et pour les plus grands, tenter de deviner la forme avant de la sortir, seulement au toucher.
16. Utiliser les morceaux d’un casse-tête de forme pour tracer les dites-formes.

Avec de la farine

18. Tracer dans la farine ou y faire rouler des autos

19. Créer une pâte à modeler odorante avec des épices, de la farine et de l’huile ou encore du sable magique 🙂

Cette article pour plus de jeux sensoriels 

L’eau, la neige, la glace.

20. Disposer de petits plats dehors pendant qu’il pleut pour recueillir de l’eau (rien de profond, et sous surveillance) et s’en servir pour des recettes de bouettes.

21. Congeler des jouets dans de l’eau pour créer des glaces à faire fondre pour récupérer le jouet.

22. Créer des mini aquariums dans un sac ziploc à accrocher à la fenêtre…
23. Ou dans un bac avec de l’eau et de l’huile d’olive (qui flotte)..
24. Associer la bonne noisette fraîchement cueillit à un verre en utilisant des chiffres.
25. Et y ajouter la bonne quantité d’eau sans que ça déborde.
26. Jouer dans la neige, à l’intérieur !
27. Créer un mini monde avec de la glace, de la neige et des branches.
 28. Regarder fondre de la glace colorée.

29. Créer des cubes de glaces à manipuler pour créer des minis-igloo avec de la neige et les dits-cubes. Remplissez simplement des contenant récupérés d’eau et les laissez dehors l’hiver.

30. Peinturer sur la neige en y déposant des gouttes d’eau coloré au compte-goutte

Clique pour 5 idées pour profiter de l’hiver en famille

Et encore…

31. Créer un livre de recette imagée simplifiée…

ou associer des collants aux tasses a mesurer pour augmenter l’autonomie de ton enfant a faire une recette seul..


Pour plus d’idées autour de la cuisine, clique ici : Plus que brasser: intégrer les enfants dans la préparation des repas.

Et encore d’autres idées dans la cuisine ici 

32. S’inspirer d’œuvres abstraites d’artistes renommés pour reproduire leur techniques..

++ Choisir un livre de bricolage a la bibliothèque ensemble et prendre le temps de réaliser au moins un bricolage qu’il contient.

++ Découper des feuilles d’arbres pour se pratiquer à manier les ciseaux…

Lire la suite

12 activités pour Halloween avec des…. effaces ? :)

https://www.facebook.com/prescozoe

Envie de plus d’activités? La thématique Halloween est prête !

Dans la catégorie “Idées de jeux pour pas cher et pas compliqué”, il y a les jeux avec de petites effaces… C’est la possibilité de créer des jeux thématiques pour quelques $…

Vous pouvez en trouver partout (target, walt-mart, dollorama), rajouter un peu de temps, des crayons et des feuilles et vous pouvez en faire ce que vous voulez…

Voici quelques idées…

1, 2, 3 …


1. Les compter, les additionner…
2. Créer une suite logique à compléter
Créer un tableau avec des cases pour que ce soit plus facile pour les petits. Vous pouvez simplement mettre 5 pareilles et demandez à l’enfant de trouver un sixième pareille pour les plus jeunes.
3. Les regrouper par 2,3,4,5
Ils se préparent à passer Halloween en groupe de 5, créer tes groupes de 5
4. On les trie par couleur/grandeurs
5. Association chiffre/Quantité
Écrire les chiffres sur une feuille et devoir en mettre la bonne quantité à côté. Pour les plus petits, on peux faire des points pour les aider à en placer le bon nombre.
6. Remplir sa feuille
Sur la feuille, on dessine des points ou écris les chiffres pour indiquer le nombre que l’enfant doit récolté pour gagner. Il lance un dé pour savoir combien d’effaces il peut y rajouter à chaque tour.
On peux y jouer à plusieurs, le premier à remplir sa feuille gagne.

Version petit: Correspondance 1-1, on ajoute 1 élément à chaque ombre.

7. Les décrire

8. Histoire En piger plusieurs et devoir inventer une histoire avec ceux-ci
9.  Piger chacun son tour en nommant MON ou TON efface pour pratiquer les déterminants possessifs
10. Les cacher chacun son tour dans la pièce et devoir donner des indices d’où ils sont cachés

11. Jouer avec ceux-ci et une petite maison ou autre objet et devoir les placer au bon endroit selon les prépositions (SUR, DEDANS, DERRIÈRE)

12. Jouer au jeu de kim (On présente X effaces puis, on les cache et on en retire 1 ou 2 et on demande à l’enfant de s’en rappeler).

13. La bouche du crocodile. On se pratique à utiliser le signe plus, moins ou égale pour aider notre crocodile à choisir quelle “tas” d’effaces manger.

Évidemment, on les ajoute aussi à notre bac sensoriel 🙂

Activités préscolaires par thèmes et plus: https://www.facebook.com/groups/prescozoe/
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